Appel à construire une société plus libre, plus équitable et plus fraternelle
"Tout le bonheur des hommes est dans de petites vallées.
Bien petites, il faut que d'un bord à l'autre on puisse s'appeler"
Jean Giono
À celles et ceux qui veulent bâtir une société fondée sur la liberté et l'amour.
Nous proposons de réfléchir et de participer au projet des PUCS
Transformer la France
en une confédération de petites unités souveraines.
Une confédération, c'est, à l’intérieur d’un même pays, l'union de groupes humains qui s'associent en conservant chacun leur souveraineté.
Il ne s’agit pas de porter atteinte à l’identité de la France avec ses valeurs de fraternité, d’égalité et de liberté mais au contraire d’en libérer la créativité, la diversité et la richesse dans tous les domaines.
C’est un projet humaniste, pacifique et progressif
Constatant que les grands pays et les concentrations de puissances :
• Engendrent des guerres désastreuses jusqu’au niveau planétaire.
• Accentuent plus qu’elles ne les résolvent les frustrations et les colères, en tensions et
conflits incessants sur leur territoire comme au-delà de leurs frontières.
• Génèrent l’insécurité par l’iniquité, l’anonymat et la concentration humaine.
• Réduisent les libertés individuelles et accroissent sans fin la surveillance et le contrôle. • Confisquent la démocratie au profit de politiciens professionnels asservis aux
puissances économiques et financières mondialisées.
• Infantilisent le peuple par des décisions et des règlements arbitraires, contraignants,
coûteux, souvent inadaptés aux réalités locales.
• L’assujettissent à un pouvoir de plus en plus éloigné, centralisé et autoritaire.
• Compliquent tout ce qui, simplement, vient du cœur, du bon sens et de la conscience
de l’être humain libre.
• Nient la diversité, la créativité, la dignité, la complémentarité des êtres humains en
imposant des lois uniformisantes à des millions d’habitants.
• Réduisent l’être humain à un animal pensant sans dimension spirituelle, simple
ressource matérielle noyée dans la masse.
Constatant inversement que dans de petits États ou petits territoires autogérés qui coopèrent les uns avec les autres :
• Les conflits font nettement moins de victimes et peuvent être plus facilement évités ou
stoppés.
• La délinquance est moins fréquente et moins furieuse.
• Le choix des gestionnaires est plus pertinent car les habitants se connaissent mieux et
la confiance peut s’établir plus aisément.
• Le petit nombre de citoyens facilite la participation aux décisions communes. • L'économie est plus prospère et le partage plus simple et naturel.
• Les humains sont plus créatifs, plus libres, plus dignes, plus heureux et peuvent y établir plus facilement l’équité.
• La diversité des peuples est mieux respectée.
• La Vie spirituelle fondée sur l’amour, le pardon, la paix, l’intelligence du cœur libre de
préjugés, trouve de meilleures conditions pour s’épanouir.
Nous proposons :
• L’éclatement de la France en Petites Unités Confédérées et Souveraines que nous appelons : les PUCS.
• Des petites souverainetés (ou petites nations) autogérées non par des politiques portés au pouvoir mais par des gestionnaires révocables, porteurs d’expérience et de compétences.
• Ces petites unités pourront être aussi diverses en fond et en forme que le voudront les groupes humains qui les constitueront, le fédéralisme assurant leur cohésion.
• Nous estimons qu’elles existent potentiellement et se formeront à la fois sous l’impulsion de leurs promoteurs et d’événements économiques et sociaux.
Nous nous référons à :
• Michel Potay, témoin de la Révélation d'Arès - Appel à changer le monde dans la liberté et par l'amour - qui anticipe dans son blog l'évolution vers les PUCS, notamment dans 2 articles intitulés "Confraternité d'économies 1 et 2" (entrées 180 et 181).
• Leopold Kohr qui rappelle que, déjà, depuis Aristote des penseurs ont réfléchi à la taille des nations, et qui a consacré 25 ans de sa vie à ce sujet remarquablement traité dans “l'Effondrement des puissances“.
• Ces deux penseurs s’inspirent particulièrement de la Suisse (Confédération Helvétique) qui, même si elle n’est pas un pays parfait, démontre par son existence paisible (elle a dû se défendre d’agresseurs extérieurs), sa prospérité et sa diversité depuis le 13e siècle qu’il n’est pas irréaliste de vivre dans de petites unités humaines confédérées et souveraines. Elle offre par des votations régulières à toutes les échelles de décision et le maillage de son organisation décentralisée, à tous, ruraux comme urbains, les mêmes services.
• Des expériences historiques nombreuses connues ou moins connues, systématiquement réprimées par les idéologies dominantes.
Comment fonctionnons-nous ?
Pour démarrer ce projet de recomposition de la France en une confédération de petites unités souveraines et amies qui remplacera l’Etat centralisateur, technocratique et autoritaire, nous avons constitué un groupe de recherche et de réflexion.
Nous choisissons de travailler à ce projet sans chef, dans un esprit de non jugement et de bienveillance réciproques, libres de tout dogme politique ou religieux et dans le respect des convictions de chacun. L’absence de chef ne signifie pas chaos mais conduit les acteurs du projet à grandir en autodiscipline, ouverture et coordination.
Nous nous engageons à chercher avec d’autres partenaires individuels et collectifs les moyens humanistes, pacifiques et démocratiques pour y parvenir.
Pour apporter votre contribution à ce projet, vous pouvez nous contacter : Courriel :pucssined@gmail.com